Vous, quand vous organisez votre table basse :
« Attends, je vais mettre un magazine dans le coin à gauche, voilà. Et puis une bougie au milieu, c’est bien. Ah ! Si j’ajoutais mon beau livre à droite ? Ouais, celui sur le photographe connu qui a fait l’exposition connue, l’an dernier. Jamais ouvert ce livre mais il fera WAHOU sur ma table basse. » Nous, quand on apprend ce que vous mettez sur votre table basse : « ORIGINAL DIS DONC ». Quoique le truc du livre, c’est une valeur sûre. Mais on peut faire bien mieux pour donner de la vie à votre table basse. Comme un mini cabinet de curiosités truffé de trophées ou de globes de mariée, un mini home garden de jolies petites plantes dépolluantes ou encore une belle collection de vases ou de céramiques. Parce qu’on est tous d’accord sur un point : une table basse vide, ça ne fonctionne pas. Il lui faut sa juste touche de déco mi-bordel mi-prolongation-de-l-esprit-deco-de-la-maison pour vivre correctement son destin de cœur du salon. Démonstration.

Crédits photos : 1. ©via Domino.co ; 2. ©Inside Jirka Vince / ©Pauliina Salonen ; 3. ©Manolo Yllera ; 4. ©via De Interista

Dans la vie, il y a des règles. Existentielles. Matérielles. Et immatérielles. C’est comme ça. Et en voici le top 3 :
1 – Ne jamais porter un haut noir avec un bas blanc (ça rapetisse.)
2 – Ne jamais manger de pain avec des pâtes (c’est comme mettre du nutella sur des pépitos).
3 – Toujours chiner en premier les 2 grosses pièces principales de votre salon avant d’entamer le reste de la déco. J’ai nommé mister canapé et madame fauteuil. Ou l’inverse. On est unisexe.

Et, dans cette règle n°3, il y a des sous-règles, comme : « ne jamais mixer fauteuil bien dodu avec canapé grassouillet, sauf s’ils sont de la même couleur mais de deux styles différents. » Ou encore : « préférer une chaise toute maigre (et non un fauteuil) pour accompagner un canapé Chesterfield ». Vous en voulez d’autres ? Go :

Crédits photos : 1. Via Domino.com ; 2. ©Tessa Neustadt via Revistaad ; 3. ©Caroline Gomez et Annabel Guéret ; 4. ©Manolo Yllera via Revistaad ; 5. Via Oracle Fox