Cette année encore, nous n’avons pas organisé de Black Friday. À l’instar des quatre précédentes éditions, on a choisi de ne pas prendre part au tourbillon dépensier que cette invention américaine a créé.

Certains commerces ont sûrement eu besoin de capitaliser sur cet événement cette année, pour leur propre pérennité, et certains consommateurs attendent avec impatience cette période de réduction, par besoin. Ce qui se comprend parfaitement. Pour autant, nous croyons qu’il est de notre ressort, en tant que plateforme de seconde main où il est déjà possible de négocier les prix toute l’année, de nous engager dans un Green Friday qui met à l’honneur une approche de la consommation plus mesurée, plus green et responsable.

Alors pour ce Green Friday, 10% de notre chiffre d’affaires du jour sera reversé à l’association Zéro Waste France qui promeut chaque jour une démarche zéro déchet & zéro gaspillage. Notez que nous (l’équipe) ne serons pas devant nos écrans le matin : à la place, nous avons choisi d’aller ramasser des déchets dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye aux côtés de l’ONF (L’Office National des Forêts). La suite du programme ? Une conférence contre le gaspillage alimentaire menée par Phenix, une entreprise qui a à cœur d’accompagner les marques vers le Zéro Déchet.
Vous ? Vous pouvez continuer à chiner (localement, c’est encore mieux !) des pièces dont vous avez besoin ou vraiment envie ou bien nous suivre dans notre journée sur Instagram : on est heureux de tout vous raconter.

Et parce que s’engager une seule journée ne sera jamais suffisant, on avait aussi envie de vous en dire un peu plus sur nos actions mises en place toute l’année pour atteindre la neutralité carbone et nos engagements. Ça se passe par ici.

1. VENDRE SUR SELENCY

Chaque année, en France, 1 700 000 tonnes de déchets liés à l’ameublement sont jetés dans la nature, dont plus de la moitié sont déposés à la déchèterie. Conclusion ? Il vaut mieux vendre ses plus beaux meubles sur Selency.

2. DÉCOUVRIR LE PREMIER SLOW VILLAGE DE FRANCE

Ici, tout est conçu dans le respect de l’environnement. Éléments de décoration locaux, gestion des déchets, traitement sélectif des eaux, restauration locale, en partie bio… On y fait quoi ? On y dort, on s’y balade à vélo et on respire. Bref, on se met au Slow Tourisme. Découvrir les lieux.

3. ACHETER LOCAL VIA UNE AMAP

Petit rappel : une AMAP c’est une association pour le maintien d’une agriculture locale et biologique dont le principe est de créer un lien direct entre agriculteurs et consommateurs. Pour en trouver une près de chez soi, ça se passe sur l’annuaire des AMAP.

Crédit photo : © Selency

Ça y est.
Les restaurants ont rouvert, les commerces retrouvent leurs clients et la vie reprend son cours, presque normalement. Presque, car impossible pourtant d’oublier cette crise qui a ébranlé et ébranle encore notre pays. On nous demande à présent de consommer comme avant pour relancer la machine, de repartir comme en 40 et de reproduire les mêmes schémas. Et si c’était une erreur ? Nous le croyons.

Nous devons plutôt apprendre de nos erreurs et penser un monde meilleur. À notre petite échelle, chez Selency, nous avons réfléchi à comment changer la donne et nous avons voulu écrire noir sur blanc nos idées pour être sûrs de ne pas les oublier. On s’est donc concertés et on a réaffirmé nos convictions et nos valeurs pour les mettre sur papier. Si notre société de consommation ne va pas s’effondrer, elle va — et doit — pourtant se transformer. Nous allons prendre le contrepied du modèle de consommation de masse, de l’ultra-standardisé et du tout jetable pour consommer moins mais mieux.

Cette période nous a aussi permis de réaffirmer qu’il était essentiel de se sentir bien chez soi. Après la levée du confinement, nous ne nous sommes pas rués dans les villes et sommes souvent restés chez nous. Parce que le déconfinement a été progressif, clairement, mais aussi, et sans doute, parce que nous avons finalement trouvé du sens à ce temps passé à l’intérieur.

Le télétravail s’est imposé à ceux qui ont eu la chance de pouvoir continuer à exercer à distance et se démocratise depuis dans toutes les consciences. Il y a donc fort à parier que nous allons passer plus de temps chez nous qu’avant. L’importance de se sentir bien chez soi et d’apporter un soin tout particulier à ce qui nous entoure nous apparaît donc de plus en plus évident. Voilà qui aiguise notre conviction de toujours : une décoration unique et authentique, miroir de nos envies et de nos personnalités, n’est pas seulement importante pour notre bien-être, elle est aussi fondamentale pour notre qualité de vie.

Fini le tout fonctionnel et pratique, on veut désormais des intérieurs qui vivent à notre rythme et à notre image. Selency va donc continuer de promouvoir chaque jour des idées et des inspirations de décoration pour que chacun s’approprie inlassablement son intérieur et y affirme sa singularité.

#1 – Dis-nous Charlotte, pourquoi tu as commencé à vendre sur Selency ?
« Pour pouvoir changer de déco au gré de mes envies. Ça fait déjà 5 ans que j’ai pris le pli. »

#2 – Un conseil pour vendre vite et bien ?
« Appliquer des prix légèrement en dessous du marché ou pile dedans mais surtout activer le Turbo* sur les livraisons Selency pour proposer des frais de port vraiment attractifs. »

#3 – Pourquoi vendre sur Selency plutôt qu’ailleurs ?
« Parce que j’y trouve tous les services dont j’ai besoin. En plus de livrer mes gros meubles, Selency filtre les offres peu sérieuses et m’évite de recevoir des demandes absurdes, ce qui peut souvent arriver sur un site d’annonces classique. Ça m’économise du temps et de l’énergie. »

#4 – Et tu vends quoi en ce moment ?
« À peu près tout car je déménage ! J’ai l’habitude de repenser régulièrement ma déco et j’ai sauté sur l’occasion du déménagement pour vraiment tout changer de A à Z. »

Merci Charlotte ! À vous de vendre maintenant.

Si on nous avait dit en lançant Selency qu’on allait un jour vous parler de recettes et de régime alimentaire, on ne l’aurait sûrement pas cru. À l’époque, on ignorait que notre modèle (l’économie circulaire) nous pousserait à réfléchir à d’autres valeurs et conseils (green) en faveur de la planète.

Tout ça pour dire qu’on a lu il y a peu que 14,5 % des émissions de gaz à effet de serre étaient produites par l’élevage animal. C’est plus que les répercutions de tous les moyens de transport réunis (oui oui). Maintenant, sachez qu’en ôtant à notre semaine un jour de « conso animale », on réduit drastiquement cette stat’. Plus même qu’en consommant local 7j/7. Si, en partageant cette info, un ami vous assure que manger des avocats n’est pas bien plus glorieux que de déguster un steak, assurez-lui que le bilan carbone de ce dernier est 3 fois supérieur à celui d’un avocat (même si on connait fruit plus économe en consommation d’eau). C’est vrai.

Crédit photo : © Jordi Sarrá

ILS SONT 16 000 À PRÉSERVER NOS RESSOURCES

L’initiative Rien de neuf vous lance un défi : ne rien acheter de neuf cette année et préserver en ce sens les ressources naturelles de notre dear planète. Pour ça, elle vous propose quelques alternatives : acheter de la seconde main, emprunter au besoin ou réparer quand ça ne marche plus. Ça paraît simple, dit comme ça.

Et ça devient vraiment simple lorsqu’on fouille le site dédié et qu’on découvre tout un glossaire d’alternatives au neuf (électroménager, high tech, voiture, mobilier –Selency y est hihi). Bref, rejoignez le mouvement, ils sont 16 000 pour le moment et vous accueillent à clics ouverts.
Go ?

Crédit photo : © Selency

1. Tester/adopter les épiceries en vrac

Des enseignes comme day by day, spécialisées dans les courses en vrac, sont présentes dans bon nombre de villes en France. D’autres sont plus locales et dénichables en un coup de Google.

2. Faire ses courses équipé

Si la plupart des épiceries en vrac vous demanderont de venir avec vos récipients (paniers en osier, pochons, bocaux en verre…) vous pouvez également vous équiper pour chacune de vos emplettes en grande surface ou ailleurs. C’est un pli à prendre, certes, mais ça donne le sourire et, c’est bien connu, le sourire, c’est contagieux.

3. S’inspirer d’experts

Instagram grouille de personnes qui parviennent au quotidien à réduire leurs déchets et qui expliquent comment. On leur adresse un clap-clap-clap et on nommera certains comptes : la famille zéro déchet, Lauren Singer, qui en a fait un business, et Melanie Lily (qui, de plus, a l’instagram bien joli).

Crédit photo : © Selency